Simsifiant v.01
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Le RDV des Passionnés de Simstories !
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

 

 Nathan's story.

Aller en bas 
AuteurMessage
horsica

horsica


Messages : 82
Date d'inscription : 24/06/2009
Age : 29
Localisation : Vendée (85) =D

Fiche-Membre
Vos Fictions:
Coup de coeur: Sooner or Later

Nathan's story. Empty
MessageSujet: Nathan's story.   Nathan's story. Icon_minitimeMer 24 Juin - 22:03

Tout d'abord, je tiens à préciser que c'est la premiere histoire longue que j'écris. Avant c'était des nouvelles de maximum deux pages.
Ensuite que je préfère que personne ne mette de coms à la suite parce que je mettrais les autres chapitres/scènes bientôt
Pour finir, c'est sûrement truqué de fautes, donc n'hésitez pas à les faire remarquer !

Le narrateur-personnage-héros est Nathan Luan. Ici, il parle avec Lune Night. (Oui, je sais, "lune nuit" No . Mais vous n'avez pas encore vu les prénoms du du frère et de la soeur de Lune. Smile )

Je n'ai pas encore bien réfléchi, mais je pense que le titre ce sera :

La culpabilité et le remord rongent la vie.

Mais ça fait peut-être un peu cul-cul.

Chap. 1, samedi matin

- Il est l’heure de se réveiller ! fis-je en entrant
- Papa, c’est le week-end ! gémit-elle

Je ris aux éclats

- Tu ne crois pas que je suis un peu jeune pour être ton père ? me moquai-je

Elle se réveilla soudain, et je fus surpris de voir que sa tignasse blonde n’était pas en pétard.

- Nathan ? Mais qu’est-ce que tu fais dans ma …

Se rendant compte quelle n’était pas dans sa chambre, et qu’elle était nue de surcroît, elle tourna son regard vers le mien, comme pour être sure que mes yeux d’ébènes ne regardaient que ses yeux émeraudes.

- Oui, répondis-je à son interrogation muette

Sa seule réponse fut un sourire, montrant toutes ses dents blanches et parfaitement bien alignés. Je déglutis. Répondre à une question non formulée peut s’avérer dangereux.

- Pour moi, l’heure de se lever est celle dont j’ai envie ! me répondit-elle, toujours en sourient, je replonge sous les couettes. Ça te tente ?

C’est bien ce que je disais. Gêné, j’ébouriffais mes cheveux couleur arbre. [Ça se dit ça ?]

- Lune, je dois aller travailler, esquivai-je. Je te laisse t’habiller pendant cinq minutes, je reviens avec le p’tit déj’.

Je ne voyais pas son regard déçu sur moi tandis que je m’en allai, mais je le sentais. Je crois bien que c’est ma première aventure que je regretterais, que ce serai bien la première fille que je jetterai sans état d’âme. C’est une amie. Et malgré l’alcool, je n‘ai aucune excuse. Aucune. C’est pourtant ma règle d’Or avec un grand O : ne jamais confondre amitié et sexe. Elle contient donc deux sous-règles :
1- Ne pas coucher avec ses amies.
2- Ne pas parler de sexe avec ses amies.
La règle ne s’applique pas aux hommes. Allez savoir pourquoi. =D

- Tu as abusé de mon ivresse !?

Je ne saurais dire si c’était une question ou une exclamation, une indignation.

- Je reviens dans 5 minutes avec le p’tit déj’. répétai-je

Avec le temps, je radote. Je dis toujours la même chose. « Je suis désolée mais pour moi, ça s’arrête là. Je ne cherche pas de relation durable ». Les plus audacieuses disent « Mais qui parle de relation, qui plus est durable ? On se fait plaisir, c’est tout. ». Les plus timides prennent leurs affaires, s’en vont, et pleurent de leur naïveté. J’essaye d’éviter ce genre de fille-là. Hélas, en plus d’être une amie, Lune fait partie de cette catégorie. Après 5 minutes, je rentrai, mais elle n’avait pas fini de s’habiller. Elle n’avait même pas commencé. Elle était assise sur le lit. Elle tourna la tête, croisa furtivement mon regard pour finir par le baisser. Pendant quelques secondes, je l’observai de haut en bas, puis je dis :

- Lune, ne rend pas les choses plus compliquées et pénibles qu’elles le sont…
- Pour moi, ma réaction est à la juste hauteur des choses, ce n’est pas ma faute si tu ne l‘apprécie pas ! dit-elle d’une voix mêlant colère et défaillance.

Lune est une fille intelligente. Légèrement coincée, un peu bourge, très riche et jolie, mais ça je l’ai déjà dit. Elle écrit des histoires, mais sa vraie passion, c’est la médecine. C’est pour ça qu’elle fait partie de mon petit groupe d’amis. Parce qu’on partage tous la même passion, et l’année prochaine, ou plutôt dans trois mois, on va tous en FAQ de médecine. Elle sait jouer du piano. C’est tout ce que je sais d’elle.

- As-tu abusé de mon ivresse ? Es-tu un salaud ?

Cette fois-ci, c’était bien une question. Répondre franchement pour faire le moins de mal possible.

- Je suis un salaud, comme pleins de gens sur terre, mais j’avais juré de ne jamais coucher avec des amies. Ma seule excuse, c’est que hier, tu étais plus que consentante, et que moi aussi j’avais bu.
- Tu vas me jeter ? dit-elle en levant son regard sur le mien.

Je plongeai dans ses yeux verts. J’eus pitié, et, une seconde, j’ai envisagé la possibilité de sortir avec Lune. Puis je me souvins l’avoir vu avec un garçon, le mois dernier. Serait-elle sortie avec moi par dépit ?

- Tu n’as pas un petit copain ?
- Réponds à ma question.
- Je t’aime comme une amie, et, je ne cherche pas les relations durables, ca ne sert à rien. De plus je suis infidèle.
- J’irai payer l’hôtel, il faut que tu économises pour la F.A.Q.

Lune, ou comment passer du coq à l’âne.

- Je ne suis pas à la rue, quand même ! Je peux me payer une chambre d’hôtel !
- S’il te plaît.
- Je ne peux rien te refuser, dis-je avec un sourire ironique, en pensant à hier soir, où elle m’avait (franco) demandé de coucher avec moi, mais l’hôtel est à mon père, et tu paieras d’une autre manière si tu n’entames pas le p’tit déj’. Repris-je

J’étais enjoué, j’avais l’impression qu’elle retombait bien sur ses pattes.

- Arrêtes avec tes allusions débiles., je me souviens de hier soir. Et puis, pourquoi tu le bouffes pas, toi, ton p’tit déj’ à la noix, rajouta-t-elle agressivement.
- Je suis cruel. Et je n’ai pas le temps de manger.
- Très. Et Je n’ai pas faim.
- Tu me pardonneras ?
- Laisses-moi du temps.
- Tu as besoin de temps pour me pardonner de veiller à ta santé en voulant te forcer à manger ?
- Arrêtes de m’embrouiller ! Tu te permets de faire de l’humour, c’est horripilant !
- C’était ta première fois ? repris-je donc avec sérieux
- Comment… rougit-elle, avant de comprendre :
- Oui.
- Je suis triplement désolée. Je regrette.
- Pas moi. C’était bien. Ce que je regrette c’est de ne pas sortir avec toi.

Elle m’embrassa une dernière fois. Ça laissa un goût amer sur ma bouche, et je pressentis que c’était bel et bien la dernière fois. Pourquoi le regrettais-je ? Par culpabilité ?

- Lune. Déclarai-je gravement
- Oui ?
- Ce n’est pas de ta faute. Ce n’est pas toi. Ne culpabilise pas. Laisse passer, la vie reprendra son chemin.
- Je n’ai jamais compris tes excellentes notes en philo. Maintenant si. Tu as pensé à te spécialiser en psy ?
- C’est toi qui me reproche de faire de l’humour ?
- Ce n’est pas ma faute, ta phrase est cul-cul !

Etait-ce mon imagination, où elle avait rit ? On était presque collés l’un à l’autre. Je résistai tant bien que mal. Ma règle d’Or, toujours ma règle d’Or.

- Au revoir ! fit-elle
- On se voit Lundi ?
- Non. Je t’ai dit de me laisser du temps. Répliqua-t-elle
- O.K. Salut.
- Salut.

Je refermai la porte. Je partis à gros pas, puis je revins à pas de loup. Pas de bruit ?

- Tu es pathétique, pa-thé-tique ! dit-elle en ouvrant la porte violemment.
- Ca ferait une jolie charade, non ? Répliquai-je avec colère : autant être « pathétique » jusqu’au bout, non ?

- Mon premier est ce que je fais en marchant, continuai-je, mon deuxième est une boisson. Mon troisième est un parasite qui donne des maladies. Mon tout est moi, MOI ! Pas-thé-tique ! Pathétique ! Tu veux que je fasse d’autres ? Avec salaud, tiens, mon premier n’est pas propre, on a besoin de mon deuxième pour vivre et devine ce qu’est mon tout ?

Sbaaaffff !
Je vis la main se rapprocher de ma joue, lentement, je sus que je n’aurais pas le temps d’esquiver et je sus aussi que j’étais allé top loin. Mais j’étais trop fier, alors je déclarai ironiquement, avec presque un regard mauvais :

- Raté, mon tout n’est pas une claque, mais moi !
- Désolée, mais tu me fais du mal en restant. Je n‘ai pas besoin que tu viennes écouter si je pleure en m’habillant. Je n’ai besoin de ta pitié. Va-t-en.

Je ne répondis même pas. J’étais trop énervé pour cela. Et aussi j’avais mal. A la joue, mais aussi à l’égo. Je partis. J’étais en retard à mon boulot, alors je courus, et ça m’évita de penser.


Dernière édition par horsica le Dim 28 Juin - 19:30, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
horsica

horsica


Messages : 82
Date d'inscription : 24/06/2009
Age : 29
Localisation : Vendée (85) =D

Fiche-Membre
Vos Fictions:
Coup de coeur: Sooner or Later

Nathan's story. Empty
MessageSujet: Chap. 2   Nathan's story. Icon_minitimeSam 27 Juin - 14:48

J'ai également fait quelques modifications pour le Chap. 1

Chap. 2, lundi

- Nathan ! Il est 7h00 ! cria ma mère, Delphine

Putain, 7h00, il faut que je me grouille, merde !
Aujourd’hui, c’est lundi, et ça fait deux jours que je suis plongé dans la culpabilité. Pour cela j’ai fait exception à la règle, et j’ai couché un dimanche après-midi avec une brune répondant au doux nom de Pauline. Histoire de se requinquer pour la semaine. Histoire aussi de me faire croire que la vie reprend son cours normalement, qu’il n’y a pas à s’en faire. Aujourd’hui, je ne verrais pas Lune. J’irai voir sa meilleure amie Kathy pour en savoir plus à la récré.
Comme chaque matin, je ne m’occupe que de mon apparence. Je ne mange pas.
A 7h15, je prends le bus avec mon frère, Yann. Yann est une vraie pipelette. Je l’adore. Il est en seconde, et c’est une vraie tête. Le bus était notre lieu de discussion, mais depuis un mois, il s’est épris d’une jolie rousse et tous les matins, ce sont les retrouvailles des six premières semaines. Je serais seul si un futur médecin n’habiterait pas à quelques pâtés de maison de chez moi. Dan, ou le stéréotype même du beau gosse naturel blond aux yeux bleus. Je ne le connais pas encore très bien, mais pas besoin de ça pour parler médecine. Il suffit de s’y connaître un minimum et d’être passionné. Mais aujourd’hui je n’avais pas envie de parler médecine, alors je ne parle pas pendant un moment et je le questionne :

- Tu connais Lune ?
- Un peu, oui… Pourquoi ? s’enquit-il, avide de commérages.
- C’est compliqué et intime. Balance d’abord ce que tu sais, selon le niveau des infos, je te raconte
- Ses parents sont très riches mais elle les voit très peu. Elle donne des cours de piano bénévolement dans un centre pour handicapés.
- Comment tu sais ça, toi ? le coupai-je
- Une fois, elle prétexté ça pour pas venir à une de nos soirées.
- Ok, continue.
- C’est tout. Mais je peux soutirer quelques infos à Kathy, sa meilleure amie.
- Inutile. Si j’en ai envie, je peux le faire, mais seulement si j’en ai envie, faisant taire les questions qui semblaient vouloir surgir de sa bouche
- Je le ferai mieux que toi. déclara-t-il avec fierté, sûr de lui.
- Mmm… ça sent les cachotteries, tout ça… Mais qui fait des cachotteries à Nat’ ? Hein ? Qui ferait des cachotteries à Nat’ ? dis-je avec un grand sourire et de grands yeux.
- Nan, vois-tu, c’est compliqué, et intime.
- Nan, pas dac’ la seule vraie chose que tu m’as appris, c’est qu’elle ne voit ses parents que très peu. Alors tu me dois plus d’infos.
- Ok, on sort ensemble depuis une semaine, et ce week-end on a fait que ça. Mais, c’est secret, pour l’instant.
- Bwahh ! Rien de bien compliqué par rapport à moi ! Mais je vais quand même aller voir Leslie moi-même. Comme on arrive au lycée, j’peux pas t’expliquer mais je te promets demain sans fautes. Motus & Bouche cousue ?
- Motus & Bouche cousue. Répondit-il avec la grimace lasse de celui qui s’est fait avoir.
- Je te jure que j’ai pas fait exprès ! me défendis-je, et c’était vrai !

Je descendis du car. Et je m’enfilais deux interminables heures de sport. Remarque, c’est cool, pour se réveiller, non ? Sauf que moi, je suis réveillé et je déteste, non, je hais le sport ! Je sortais de sport que la récré avait commencé de dix minutes. J’apostrophai Kathy en pleine crise de fous rires avec des copines. Quand j’arrivai, toutes se turent. L’une d’entre elles allait parler, mais je la coupai en me tournant vers Kathy. Aujourd’hui, Kathy avait des cheveux noirs et longs méchés de rose et aujourd’hui, elle était habillé en noir et rose : un haut rose avec une ceinture noire, une jupe noire et des chaussures noires. Vous connaissez « N.C.I.S. » ? Abby est l’idole de Kathy.

- Kathy, je peux te parler en privé ?
- Qu’est-ce qu’il y a chéri ? dit-elle en s’éloignant, alors que copines se remettait à piailler.
- Alors il paraît que tu vas intégrer notre bande par l’intermédiaire de Liam ? la taquinai-je
- J’y suis déjà, niquedouille ! esquiva-t-elle en rosissant légèrement.
- Mince, moi qui pensais te faire croire qu’il y a des conditions pour entrer ! ironisai-je
- Qu’est-ce que tu veux, rat insignifiant, contre ton silence ?

Kathy adore dire que les gens sont insignifiants quand c’est tout le contraire.

- Des infos. Sur Lune. Tu as des nouvelles d’elle depuis vendredi soir, la soirée ?
- Si tu es au courant, tu dois savoir que je n’ai pas eu le temps de l’appeler ce week-end. Elle n’est pas là aujourd’hui et elle ne répond pas au téléphone. Je compte passer chez elle ce soir. Je te tiens au courant ?
- Oui, merci.

La journée passa, j’étais rentré chez moi et j’allais me coucher quand mon portable sonna. C’était Kathy !

- Allo ?
- Nat, c’est horrible…

Elle pleurait. Je crois que je n’avais jamais vu/entendu Kathy pleurer.

- Kathy, ça va ?
- Non… balbutia-t-elle

Elle bafouilla une suite de mots dans lequel je compris « Lune » et « suicide ». Mon cœur s’emballa, et très vite, j’imaginai le pire, tout en espérant très fort le meilleur.

- Je suis chez Dan, avec toute la bande, tu peux venir ?
- Lune s’est suicidée ?
- Oui
- Je préfère rester seul. Je suis désolé. Demain soir je fais une soirée chez moi, pour qu’on en discute ensemble, mais là je peux pas.
- J’y crois pas, tu préfères sauter une grognasse ! On dirait que tu t’en fous !
- Non ! Ce n’est…

Seul les BIP incessants me répondirent. Le sol se déroba sous mes pieds. Les larmes perlèrent naturellement sur mes joues. C’est MA faute, MA faute…
Après une demi-heure, je me calmai un peu, et j’entendis alors ma mère rentrer de boulot, et mon père s’exclamer :

- Chérie ! Je t’ai gardé une part du dîner, mais je n’ai pas bien compris ton message, pourquoi tu étais en retard ?

En ce moment j’ai cru remarquer qu’il y avait de l‘eau dans le gaz entre mes parents. Je n’en ai pas encore parlé à Yann.

- Simon, dit-elle gravement à vois basse, une des copines à Nathan s’est suicidée.

Ma mère a créé un institut de beauté nommé « Delphine Beauté ». Elle connaît tous les ragots du coin. Ma mère est plus grande que mon père et Yann. Elle a de longs cheveux bruns ondulés et des yeux bleus océans. Parfois je me dis que ce n’est pas ma mère tellement elle est belle. Mais nous avons tous les deux le même caractère. C’est pour cela que je suis à la fois très proche de ma mère, malgré nos engueulades. Mon père est doux comme un agneau. Jamais il n’a haussé la voix sur moi et mon frère. Je l’admire. J’ai pris tout mon physique à mon père sauf ses yeux, qui partent entre le vert et le marron. Mon frère lui, a les yeux océans de Delphine, et les cheveux ébouriffés et châtains de Simon et moi.

- Tu crois qu’il est au courant ? questionna mon père
- Je ne crois pas, j’en suis sûre. Yann, viens.
- Quoi ? Kézakoo ? demanda mon idiot de frère pour essayer de réchauffer l’ambiance morbide qui régnait
- Viens, qu’on te dit, et ne pose pas de questions idiotes dans un moment pareil ! réprimanda sévèrement mon père.

Je les entendis monter l’escalier et entrer dans ma chambre. Je savais ce qu’ils allaient faire. Ça s’appelle le soutien familial, et ma famille, elle est pro dans cette catégorie là. Juste pour ces instants là, je les aime. Juste qu’ils soient auprès de moi, ça me fait du bien. Avant de dormir, maman a murmuré :

- Tu n’es pas obligé d’aller au lycée demain…
- Tant mieux…
Revenir en haut Aller en bas
 
Nathan's story.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Trisha's story by Windy

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Simsifiant v.01 :: ► Simfictions Online ◄ :: Fictions Ecrites-
Sauter vers: